mardi 31 mai 2011

Rue de Vaugirard

Croisement avec la rue de la Convention.


(24 février 2011)

samedi 21 mai 2011

Saint-Jean-Pied-de-Port et la Coquille Saint Jacques











Étape importante des chemins de Compostelle avant de franchir le col de Roncevaux, Saint-Jean-Pied-de-Port honore la coquille… il y en a partout, mise un peu à toutes les sauces ! Pour moi, mécréante, ce sera avec une noisette de beurre salé et une pointe de safran !

Ce qu'en dit Wikipedia :

"Les pèlerins avaient pour coutume de rapporter comme témoignage de leur voyage des coquilles de pectens, qu'ils fixaient à leur manteau ou à leur chapeau, d'où le nom de coquilles Saint-Jacques donné par la suite à ces mollusques. La coquille Saint-Jacques était le signe à l'issue du voyage que c'était un homme nouveau qui rentrait au pays. Elle deviendra l'un des attributs reconnaissables du pèlerin, avec le bourdon, la besace et le chapeau à larges bords. La coquille fut parfois gravée dans la pierre sur les frontons ou les chapiteaux des églises2. Elle est le plus souvent un ornement architectural sans lien avec Compostelle. Au tout début de son histoire la coquille Saint-Jacques n’a jamais été une preuve de l’arrivée à Compostelle, selon l’écrivain allemand Gerhardt Derkönig (XVe siècle, auteur de "Elend, wo fortwährend Bußfertigkeit!" "misère, une pénitence à vie"). Au commencement du Moyen Âge, les pèlerins étaient de pauvres gens et partaient sans vêtement de rechange. Le retour était très ardu car les pénitences infligées à ces miséreux par les prélats de Saint-Jacques, consistaient à effectuer sur ce chemin du retour plusieurs fois par jour quelques centaines de mètres sur les genoux. Inutiles de préciser que les culottes se trouaient rapidement. Une idée vint à un illustre inconnu d’utiliser les coquilles vides de "Pecten maximus" comme genouillères. Ces coquillages étaient percés de chaque coté de deux trous et maintenus par des cordelettes. Mais la dureté même de la coquille était plus douloureuse pour les genoux que la terre. Cette pratique dura quelques dizaines d’années et on la remplaça par une genouillère de cuir. C’est à partir de cette époque que la coquille perdit de son utilité vestimentaire pour un rôle plus noble, celui de preuve d'avoir été au bout de son chemin. Au fil du temps, les carnets de route faisant leur apparition, ils ne laissèrent à ce fameux coquillage qu'un rôle symbolique."

(Photos du 22 avril 2011)

vendredi 20 mai 2011

Maison basque (2)

Sur les linteaux ce pierre, ici du grès rose, sont gravés les noms des couples qui ont construit la maison.


Ici, c'est la profession du propriétaire qui est évoquée.
Le texte est souvent orné de la croix basque.

Les inscriptions ont été parfois peintes pour les rendre plus lisibles.

(Photos du 22 avril 2011)

jeudi 19 mai 2011

Maison basque

Sur des façades d'une blancheur immaculée, (un peu moins dans la montagne), les boiseries de la maison basque se déclinent aux couleurs du drapeau régional : le plus généralement en rouge, parfois en vert. L'utilisation d'autres coloris est exceptionnelle.
Le grès rose et les colombages sculptés font inévitablement penser aux maisons alsaciennes.

Celles-ci se trouvent à Ainhoa (64), un des plus beaux villages basques.











(Photos du 26 avril 2011)

jeudi 12 mai 2011

Paris, sur les murs


Rue de Vaugirard

Rue Saint Honoré

Marais
(25 février 2011)

Paris, par terre






(24 et 25 février 2011)

lundi 9 mai 2011

Cognac

Tout y est : la Charente, le Cognac, la porte Saint Jacques, le Château où est né François 1er...


Porte Saint-Jacques :




(Photo du 27 avril 2011)

dimanche 8 mai 2011

Rue Saint-Honoré

Ministère de la culture et de la communication



(Photos du 25 février 2011)

vendredi 6 mai 2011

Lanterne des morts d'Atur (24)



"Ainsi ma vie achève de s’écouler doucement, en paix avec moi-même, aimé des miens, estimé de mes voisins, bien voulu de tout le monde. Et, dans une pleine quiétude d’esprit, demeuré le dernier de tous ceux de mon temps, rassasié de jours, comme la lanterne des trépassés du cimetière d’Atur, je reste seul dans la nuit, et j’attends la mort."

Jacquou le Croquant - Eugène Leroy
(Photos du 18 avril 2011)

Vautour fauve

Gyps fulvus- Magnifique rapace pouvant atteindre 2,70m d'envergure et plus de 8 kg.
L'espèce est protégée, ce qui ne semble pas du goût de tout le monde, pourtant , en tant que charognard, il ne doit a priori pas s'attaquer au troupeaux ?
En Europe, on le rencontre en Grèce, le long des côtes de l'Adriatique et en Espagne.
Quelques individus habitent les Pyrénées occidentales et survolent les sommets basques où ils nichent dans les rochers.

Celui-ci volait au-dessus du Mondarrain.

Cheval pottok ?

(Photos du 21 avril 2011)

mardi 3 mai 2011

Osse-en-Aspe

Avant d'arriver à l'ancien aérium, il faut traverser le joli village montagnard. J'en avais gardé très peu de souvenirs, mais quand je l'ai quitté en avril 1954, ça devait ressembler à ces images :
















Le Coquelicot doré (Papaver aurantiacum)
pousse dans les rocailles des Alpes méridionales
et dans les Pyrénées :


(Photo du 23 avril 2011)

lundi 2 mai 2011

Côte Basque







(Ciboure)

(Hendaye)

(Corniche Basque)

(Couleurs du pays dans le port de Saint Jean de Luz)

Photos du 26 avril 2011